Un soir un peu avant l'extinction des feux, à 15 ans interne au lycée, avec un pote de 2 ans mon aîné, on avait l'habitude de fumer à la fenêtre de la salle d'eau et on s'est retrouvé seul, lui assis sur le carrelage, la tête contre le mur et moi debout devant lui face la fenêtre.
On s'était déjà amusé un peu.
T-shirt, caleçon, dortoir de mecs.
J'ai approché ma queue de son visage et il a naturellement mis sa main sur ma cuisse pour la sortir et la mettre dans sa bouche.
Il la suçait à peine que je bandais déjà fort et je sentais la peau de mes boules se resserrer.
Mon bassin se mit automatiquement à faire des va-et-vient et je lui baisais la bouche, doucement, sensuellement et profitant de la chaleur de mon pote, sa tête bloquée par le mur, ne pouvant que subir mes à-coups.
J'ai joui très rapidement, par grosses giclées épaisses, 5 ou 6, puis quelques derniers spasmes brusques et électriques.
Il me repoussa doucement et je retira ma bite, humide et collante, pour qu'il se dégage la bouche.
Il se pencha pour ouvrir la porte de la douche à côté de lui et cracha un gros molard blanc et grumeleux et quelques taches mousseuses.
J'étais un peu déçu qu'il n'avale pas mon jus, j'étais un ado un peu romantique, pour moi c'était un cadeau qu'il refusait.
Mais je n'ai pas eu le temps d'y penser, un autre interne entra à ce moment là, nous interrompant.
J'ai remis mon caleçon en place, il s'est relevé et on alla se laver les dents en se regardant, complices, juste avant l'extinction des feux.
mais une fois dans le noir, c'est une autre histoire...