C'était la pause du midi, mon pote Benji et moi parlions de la découverte du plaisir en solitaire. A l'heure de retourner en cours il m'avait dit - "Euh, tu veux pas aller te branler là vite fait ?"
- "Tu veux dire on sèche le cours ?"
- "Ouais, juste 10 minutes et on arrive en retard."
On s'était enfermés dans les toilettes des mecs, dans une cabine et on s'était allongés contre la porte côte à côte, les jambes le long de la cuvette des toilettes (autant vous dire qu'on était confortables

- "Bon tu regardes pas, on est pas des pédés hein"
On avait commencé à se branler chacun de notre côté, tentant tant bien que mal de se retenir de jouir et les 10 minutes innocentes s'étaient transformées en 3/4 d'heure. Tous les deux, on avait le souffle court et le gland dégoulinant de précum et l'atmosphère commençait à sentir la bite. Après un moment de va et viens, on s'était arrêtés tous les deux en souriant, et Benji avait lâché
- "Putain je voudrais tellement qu'une meuf me suce là"
- "Ouais trop !"
J'avais hésité un moment avant de dire
- "Si tu veux, je te branle et comme ça tu fais comme si c'était une meuf ?"
- "Euh non, c'est dégueulasse tu crois pas ?"
- "Non mais c'est bon, c'est pas un truc de pédales hein, c'est juste pour que ça soit mieux"
Il avait continué dans son coin un peu troublé par ma proposition, je pense. Et au bout d'une ou deux minutes il était revenu sur sa décision
- "Ouais en fait j'ai trop envie, mais tu le répètes pas. Et je te branlerai pas après."
Il avait fermé les yeux et j'avais saisi sa queue de ma main droite, j'étais aux anges. Sa bite était brûlante, dure comme de la pierre et mouillée. Très rapidement je l'avais senti se contracter dans ma main et avait lâché dans un gémissement sourd "j'vais jouir mets ta main" avant de cracher un flot de sperme dans ma paume.
J'étais débordant d'excitation, ma queue battait et je repris ma branlette de plus belle avec ma main encore chaude de son foutre. Je n'ai pas mis très longtemps à exploser en une petite giclée sur mon torse.
On est ressorti de là un peu étourdis et ankylosés, attendant la récréation de 15h. En sortant des toilettes, Benji m'avait attrapé par la nuque, avait serré et m'avait dit "tu le répètes pas putain hein ! sinon j'te défonce ta gueule..."