Ma première branle entre potes (à 16 ans a l’internat) Parle de ton expérience sans aucun tabou.

[Tari31]

Ma première branle entre potes s’est passée quand j’étais au lycée, à l’internat.

Nous étions dans des dortoirs de 4. Les mecs de la chambre n’étaient pas particulièrement des super potes à moi mais on se respectait. L’un d’entre eux s’appelait Thibaut, je me souviens qu’il n’avait aucun complexe, il revenait de la douche avec la serviette autour de la taille et la retirait sans se tourner avant de s’habiller. Il avait une bite qui me rendait jaloux : longue au repos, je dirais facilement 12cm à la louche. Tous les jours je jetais un œil très discrètement. J’avais aussi l’occasion de le regarder en EPS quand il prenait sa douche (collective) là aussi sans aucun complexe. Bref, on sentait que ce mec était très à l’aise, un mec qui était déjà sorti avec plusieurs filles du lycée, et qui s’affichait ouvertement. C’était évidemment l’un des mecs les plus populaires du lycée alors que j’étais plutôt quelqu’un de discret et très timide.

Un soir, je revenais de l’étude surveillée où j’étais resté plus longtemps pour réviser un contrôle qui avait lieu le lendemain. Je rentre dans la chambre et il y avait Thibaut, avec un autre mec de la chambre. Quand j’ai ouvert la porte, ils se sont tout de suite cachés sous leur couette. J’ai fait semblant de pas comprendre et je suis rentré comme si de rien n’était pour aller m’allonger dans mon lit.

Quelques minutes plus tard, le fameux Thibaut sort de son lit, complètement à poil, et vient face à mon lit, la queue pendante entre les jambes, mais largement plus longue que d’habitude. Elle devait largement lui arriver au milieu de la cuisse, mais elle paraissait au repos ou en tout cas il bandait à peine et sa teub se balançait lourdement au fur et à mesure qu’il marchait. Il était tout fier, et arrivé face à moi, il me dit « ça va ? ». Je suis resté ébahi devant sa bite énorme pendant quelques secondes avant de répondre « euh oui oui » et il continue en me disant « on était occupés là, tu nous a interrompus ». Je m’excuse immédiatement et je lui propose de sortir mais il m’en empêche et me dit « je vois bien que tu me mattes à poil et que tu aimes ça » au fur et à mesure qu’il commence à se toucher la queue sous mes yeux. Il rejoint son lit et se met à se branler. Je n’avais jamais vu de bite aussi grosse (et surtout je n’avais jamais vu te bite en érection !). Il bandait comme un âne et se branlait avec ses deux mains et il y avait largement la place pour une troisième. Elle devait faire facilement 21-22cm.

Pendant ce temps là, l’autre mec se branlait sous sa couette, l’air de rien...

Thibaut me dit de venir voir, qu’il a un problème. Je m’approche timidement, il me montre sa bite de près (il avait un gland surdimensionné) et me dit « tu veux toucher, hein? ». Évidemment je bandais mais j’étais tout habillé et ça ne se voyait pas. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé mais en quelques instants, sans réfléchir, j’ai approché ma main de sa bite et j’ai commencé à le branler.

L’autre mec ne se cachait plus, et lui aussi avait une bite respectable, surtout très lisse et droite.

Thibaut gémissait de plaisir mais j’ai arrêté de le branler rapidement après car je j’étais pas très à l’aise. Il a continué lui même, et au fur et à mesure que sa respiration s’accélérait, et il a éjaculé dans un mouchoir en poussant un râle.

On en a jamais reparlé...

Aujourd’hui, je regrette de ne pas être allé plus loin à l’époque...

[bobparis]

Bien excitant ton récit
Tu es allé plus loin dans quelles circonstances,

[titmec69]

Wouah. Putain, sympa ! Et excitant.
Le genre de truc que j'aurais aimé vivre.. Même si, je ne suis pas certain qu'à l'époque j'aurais osé..

Tu as pu les mater, déranger à d'autres occasions ?

[Phoinix]

Merci, joli récit, bien écrit qui plus est !

[Henry]

Je confirme qu en pension il y avait toujours un mec exhib.
Je me souviens qu en seconde les douches étaient juste en face des lavabos et il y avait juste un rideau pour se laver sans etre vu.
Tout le monde s essuyait sans ouvrir le rideau sauf un mec qui montrait toujours sa longue bite bien molle

[Tari31]

Bien excitant ton récit
Tu es allé plus loin dans quelles circonstances,

Je suis jamais allé plus loin mais j’ai quand même continué à le mater ! Il mettait des caleçons larges et un matin il avait la bite qui dépassait par le bas du caleçon. Il devait être en demi-molle.

[Henry]

Les caleçons ....c était aussi très facile de mater les couilles des mecs ...

[Bernard22]

Ah les joies de l'internat. En 5eme, nous étions 4 à nous rouler des pelles, se caresser. Sentir une queue durcir sous la main et la sentir tressaillir sous les caresses. L'année suivante, un pote venait se glisser dans mon lit. Nous frottions nos bites l'une contre l'autre, nos jus se mêlait sur nos ventres. D'autres fois nous branlions mutuellement en s'embrassant. Dans le dortoir nous étions une trentaine, l'excitation de se faire surprendre décuplait la plaisir.

[belgiquegaycam]

J'étais au pensionnat de 7 à 14 ans. Dès que ma conscience c'est développée, j'ai su que j'étais attiré par les corps des mecs, les queues, les couilles. Nous dormions à deux dans une chambre. Au début, on se branlait ensemble mais séparément puis on s'aidait jusqu'à jouir l'un sur l'autre. Les douches étaient collectives. Mater mes compagnons me faisait toujours bander. J'aimais montrer ma queue en érection. J'allais de l'un à l'autre et je voyais bien que certains avaient la bandaison facile. Certains observaient, timides, d'autres se branlaient seuls et quelques uns plus hardis ou plus matures, osaient prendre une bite en bouche. La première fois qu'on m'a sucé, devant tout le monde donc, tout mon corps se raidit. Il n'a pas fallu longtemps pour que je jouisse en râlant de plaisir. Le mec reçu une dose explosive en bouche. Je tremblais du plaisir jusque là inconnu. On a recommencés quelques fois, toujours en groupe, et j'ai pris aussi sa bite en bouche. Il déchargeait de bonnes quantités de sperme que j'avalais. J'ai dû quitter la pension avec regrets... Je n'ai jamais oublié. Mais amoureux de la queue et du sperme. Je suis resté exhib et mateur. Branleur et suceur.