par whitesox17 »
Dim 27 Nov 2016 10:05
Première expérience de branle à 10 ans en colo avec 4 autres potes de la chambre, idée lancée par le moins timide. Evidemment chacun pour soi, sauf deux des mecs qui se sont rejoints, mais j'ai rien vu de ce qu'ils ont fait. Aucun orgasme pour moi, même sec, mais je me souviens que j'avais la bite (zizi de gamin, même pas encore bite d'ado) dure comme du bois, super fier qu'elle soit aussi dressée et rien à envier aux potes. J'étais le seul mec circoncis, donc ça a pas mal intrigué les autres, mais rien de plus. Puis à partir de 12 ans, énormément de lachages de liquide pendant mon sommeil, sans branles. J'ai toujours été un gros baveur je crois, et quasi tous les matins à partir d'un moment j'avais des trop pleins de mouille et sans doute de sperme qui finissaient sur les draps. Je m'en foutais un peu, en fait j'ai jamais caché que je tachais mon pieu, aucune idée si ma mère s'en est aperçu. Vraie branle finalement assez tardive, à 13 (ou même 14 ans je sais plus), en me frottant la queue entre un oreiller et un matelas dans le grenier de mes grands parents, en imaginant que je me frottais sur un pote de classe. Première éjac ce jour là, un peu inquiet que ça se voit, mais surtout surpris par l'odeur super forte de mon jus. J'ai pas osé goûter, mais par contre je me suis foutu le nez dedans un bon moment. Je me suis très longtemps branlé de cette manière, que j'aimais bien parce que le frottement sur mes testicules m'excitait particulièrement. Avec parfois le zob dans une cho7 pour pas en foutre partout. Découverte des jeux de mains plus tard, avec élaboration de techniques spéciales queue circoncise, avec toujours travail des couilles, indispensable.