Qui veut me parler
Vidange Totale au Parc : 8 Queues pour un Passif ! https://x.com/lopenordisere Un jeudi , le ciel au-dessus du Parc de Miribel Jonage était encore teinté d’un orange crépusculaire quand je suis arrivé au parking Baraka, vers 18h30. L’air était tiède, chargé d’une odeur d’herbe humide et de testostérone en suspens. J’avais lu les rumeurs sur ce spot : un lieu discret, connu des mecs en chasse, et j’étais prêt à tout donner. Mon annonce sur le site avait rameuté du monde, et je sentais déjà mon corps frémir d’excitation à l’idée de ce qui m’attendait. Je suis descendu de ma caisse, un short qui laissait deviner mes fesses et mon jockstrap et un tee shirt Adidas noir . Pas de chichi, j’étais là pour une chose : vider des queues, et j’avais promis un open bar total. À peine avais-je posé un pied sur le gravier que j’ai vu les premiers gars approcher. Huit paires de couilles à soulager, c’est ce que j’avais compté à la fin de la nuit, mais là, tout de suite, c’était le début du carnage. Le premier à se pointer fut un rebeu baraqué, la trentaine, avec une barbe bien taillée et un regard qui sentait la baise à plein nez. Il portait un jogging gris qui ne cachait rien de son matos : une bosse énorme tendait le tissu, et j’ai tout de suite su qu’il était dans la catégorie TBM que j’avais réclamée sur Wannonce . « T’es le passif de l’annonce, c’est ça ? » qu’il m’a lancé, un sourire en coin. J’ai hoché la tête, déjà à moitié en transe, et il a baissé son froc sans attendre. Sa queue, épaisse, veinée, avec un gland luisant, m’a fait saliver direct. J’ai plongé dessus, mes lèvres s’étirant autour de son calibre, pendant qu’il grognait de plaisir en me tenant la nuque. Il sentait le mâle, un mélange de sueur et de musc brut, et je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il me remplisse la gorge d’un jet brûlant. Premier vidage, et j’étais déjà trempé de désir. Un deuxième rebeu s’est ramené juste après, un pote du premier apparemment. Plus jeune, plus sec, mais tout aussi bien équipé. Il avait un regard vicieux et une capuche relevée qui lui donnait un air de bad boy. Sans un mot, il m’a retourné contre une bagnole garée là, a craché dans sa main et m’a enfilé d’un coup sec. Mon cul s’est ouvert comme une fleur, habitué à ce genre de traitement, et il m’a pilonné en rythme, ses couilles claquant contre mes fesses. « T’aimes ça, hein, salope ? » qu’il murmurait entre deux coups de reins. J’ai gémi un "oui" rauque, et il a fini par se vider en moi, laissant une chaleur collante couler le long de mes cuisses. La nuit avançait, et les mecs défilaient. Un troisième, un blond costaud d’une quarantaine d’années, m’a pris la bouche pendant qu’un quatrième, un mec nerveux avec une queue courbée, s’occupait de mon cul. J’étais en sandwich entre eux, bavant et gémissant, tandis que le parking résonnait de bruits de chair et de souffles rauques. À un moment, un agent de sécurité s’est pointé, un grand Black en uniforme, la trentaine bien tassée, avec une lampe torche qu’il a braquée sur nous. J’ai cru qu’on était foutus, mais il a juste ricané : « Continuez, je mate. » Et puis, sans prévenir, il a déboutonné son froc et m’a rejoint. Sa queue était massive, un gourdin sombre qui m’a fait un effet de dingue. Il m’a attrapé par les hanches et m’a défoncé contre une table , pendant que les autres regardaient, certains se branlant en cercle autour de nous. Il a joui en grognant comme un animal, et j’ai senti son foutre me remplir jusqu’à déborder. Mais le clou de la nuit, c’est quand le Latino est arrivé, vers le petit matin. Il était grand, bronzé, avec des cheveux noirs en bataille et un corps sculpté qui puait le mâle alpha. Il sentait bon, un parfum boisé mêlé de sueur fraîche, et quand il m’a vu, à poil, couvert de sueur et de sperme après avoir vidé sept mecs, il a souri comme un prédateur. « T’es encore chaud, hein ? » qu’il m’a dit, sa voix grave me faisant frissonner. Il m’a traîné jusqu’à une table de pique-nique au bord du parking, m’a allongé dessus, totalement nu, les jambes écartées, et m’a pris comme un roi. Sa queue, longue et dure comme du bois, me labourait avec une précision brutale. Il me tenait les poignets au-dessus de la tête, ses muscles roulant sous sa peau pendant qu’il me défonçait. Le bois de la table grinçait sous mes fesses, et le froid du petit matin contrastait avec la chaleur de son corps contre le mien. Il m’a murmuré des trucs en espagnol, des mots crus que je comprenais à moitié, et quand il a joui, c’était une explosion, un torrent qui m’a laissé tremblant et vidé. À la fin, vers 05h30 du matin , j’étais une épave délicieusement ravagée. Huit mecs, huit paires de couilles vidées, dont deux TBM d’anthologie, un agent de sécu qui avait retourné la situation, et ce Latino qui m’avait achevé sur la table. J’avais du sperme partout, dans la bouche, sur le visage, dans le cul, et je sentais encore leurs odeurs sur moi. En repartant, les jambes flageolantes, j’ai souri dans le vide. Le parc Miribel Jonage avait tenu ses promesses, et moi, j’avais tenu les miennes.
Un jour, j'étais chez un pote, c'étai le matin, en mode détente, on discute de tout et de rien, je suis un fouineur du coup, je me lève et je vais dans sa chambre, et la je vois un SexToy Doll en siliconé c'étais juste le cul et la chatte hyper réaliste le truc et je vais le voir je lui dis "mec, c'est à toi ce truc la" il me répond que c'tait À lui qu'il venait de l'acheter à peine 1 semaine, bref de la moi je suis là à mater et palper le sextoy et je lui dis que c'est hyper réaliste, c'est comment dedans tout ça ... et la moi j'attendais que ça, bah il me dit teste le va y tu verras, moi les gars je vous jure j'attendais que ça en plus je n'avais pas giclé depuis une bonne semaine, j'avais faim lol et là, il me dit "par contre je te laisse la baiser si tu le fais devant moi" et la une montée d'excitation je commence à bander, et à prendre le sextoy, la sensation interne étant incroyable, pendant que mon pote se branler le chibre, un moment donner lui il lâche son yop et quand viens mon tour il me demande de gicler dedans en mode creampie, j'accepte je me vide entièrement dans le sextoy, je me nettoie et je vais pour nettoyer le sextoy il me dit "non laisse je ferais ça plus tard" je rentre chez moi et il m'envoie un message "mec tu es vraiment chaud, tu as rempli mon sextoy bien comme il faut" ... Je me suis dit ... qu'a-t-il fait avec son sextoy plein de semence ?
izaac7 : Bien hot comme récit et surtout ça fait envie
audia5tt : En tous cas moi j'aimerai bien tester ce genre de jouet ;)
loicscred : Huuuum hyper bandant !
Ib34 : Trop bon
RebeuLatino : je pense qu'il a du passer apres moi lol
Alex_94 : Il l’a bu
Bolsas : Hummmm ! Il a remis sa bite dedans ? Il l'a léché ?
passifnordisere : cool
Arnonat44 : C'est grâce à ce site que j'ai suce mes premières bites !!
C'était l'année dernière sur une aire d'autoroute. Une voiture sest garé acôté de la mienne. C'était la nuit et pas de lumière sur le parking. Un moment je voyais une petite lumière dans la voiture et je pouvais voir le mec en train de se faire sucer par sa compagne je suppose. Moi assis au volant, j'étais au première loge. Un moment le mec sort de sa voiture et ouvre la portière passager pour baiser la femme. Visiblement le gars ne l'a pas déranger vue que j'étais au volant et vitre baisser. Le gars a commencé à la pénétré et faisait des vas et vient de plus en plus rapide. Moi j'étais hyper exciter de le voir en vrai et à moins d'un mètre de moi. C'était une 1ère excitante.
Marconeo78 : Hmmm sympa ça !
titmec69 : Trop bon ça!
https://x.com/lopenordisere C’était une nuit brûlante, un samedi soir d’été, dans une boîte branchée d’Annecy, pas loin du lac, où les basses vibraient dans les murs et les corps se frôlaient sous les néons. Et c’est là que je l’ai vu : un Turc, un putain de canon de 30 ans, un mètre soixante-quinze pour 75 kilos de muscles secs, taillés par le boulot – maçon, m’a-t-il dit plus tard, et ça se sentait dans ses paluches énormes, quatre fois la taille des miennes, calleuses et puissantes. Il portait une chemise blanche entrouverte, laissant deviner un torse velu, des poils noirs comme l’ébène qui débordaient du col, et un jean bleu moulant qui soulignait ses cuisses épaisses. Ses cheveux, mi-longs, raides, noirs corbeau, brillaient sous les lumières stroboscopiques, épais comme une crinière sauvage, et sa barbe taillée encadrait un visage viril, avec des sourcils broussailleux qui lui donnaient un air animal. Moi, du haut de mon mètre soixante-dix et mes 52 kilos, mince, passif, presque frêle à côté de lui, je l’ai maté toute la soirée. À un moment, il a filé aux chiottes de la boîte. J’ai pas hésité, je l’ai suivi. Là, dans la lumière crade des néons, il a sorti sa queue pour pisser : 21 centimètres de chair épaisse, 6 de diamètre, un monstre turgescent, veiné, avec un gland luisant qui m’a fait saliver direct. Il m’a capté en train de baver dessus, un sourire en coin a traversé son visage. « Suis-moi », qu’il m’a lâché, la voix grave, rauque, pleine de testostérone. On a traversé la foule, direction le parking. Sa caisse ? Une BMW noire rutilante, sièges en cuir sombre, qui puait le luxe et la sueur masculine. Il m’a poussé sur la banquette arrière, la portière à peine claquée. J’étais à quatre pattes, le cul offert, et lui, derrière moi, a baissé son jean juste assez pour libérer sa teub. Il m’a agrippé les hanches avec ses mains de brute, ses doigts s’enfonçant dans ma chair blanche et fine, et il m’a pénétré d’un coup sec. J’ai hurlé, un mélange de douleur et de plaisir, son engin me défonçant comme une perceuse. Mes petits doigts se sont accrochés à ses cheveux, ces mèches épaisses, raides, luisantes, que je tirais en arrière pendant qu’il me pilonnait. Je gémissais comme une chienne, mes lunettes glissant sur mon nez trempé de sueur, tandis qu’il grognait, ses poils noirs de torse frottant contre mon dos. Sa chemise ouverte laissait voir ses pecs bombés, couverts de cette toison sombre qui me rendait dingue. Il a posé une main sur la plage arrière pour prendre appui, l’autre me tenant le cou, et il m’a bourré encore plus fort, son bassin claquant contre mes fesses. Mais ça ne lui suffisait pas. Il m’a dit : « On va ailleurs, un vrai spot. » On a repris sa BMW, direction Argonay, un parking connu des mecs en chasse, un lieu de drague cent fois plus chaud que la Visitation. Là, au milieu des arbres et des bagnoles garées, il m’a sorti de la caisse, m’a plaqué contre le capot encore tiède, et m’a repris de plus belle. Sous la lune, je voyais ses biceps se tendre, ses avant-bras velus crispés alors qu’il m’enfonçait sa queue jusqu’à la garde. Mes doigts s’emmêlaient dans ses cheveux, je les bouffais presque, humant leur odeur de mâle, pendant qu’il me labourait le cul, ses couilles lourdes tapant contre moi à chaque coup. Il a accéléré, ses grognements devenant bestiaux, et puis il s’est retiré d’un coup. « Ouvre la bouche », qu’il m’a ordonné. J’ai obéi, à genoux sur le gravier, et il m’a arrosé : trois, quatre jets de sperme épais, brûlant, qui m’ont éclaboussé le visage, dégoulinant sur mes lunettes, ma langue, mes joues. J’en avais plein la gueule, et je kiffais ça, ce goût salé, cette domination totale. C’était un plan cul d’anthologie, hardcore, avec ce bogoss turc qui m’a déglingué comme jamais. On ne s’est jamais revus après ça, dommage. Mais cette nuit-là, entre la boîte d’Annecy et le parking d’Argonay, reste gravée dans ma peau, dans mes lunettes maculées, dans chaque fibre de mon corps éclaté par sa puissance.
spider25 : chaud j'adore!
bobidicool : wow super chaude ton histoire
Il est 18h00. Je viens de passer la barrière de péage pour faire les derniers kilomètres d'autoroute avant de rentrer chez moi. Je roule depuis maintenant 4 heures, le temps est humide, la luminosité faible. Je n'ai pas envie de pisser, mais mon bas ventre se rappelle à moi. Avant la sortie, tu vas t'arrêter à cette aire de repos que tu connais pour y avoir quelque fois fait quelques plans rapides (tripotage, branle, suce). Elle comporte 2 parkings, un auto et l'autre poids lourds, et au milieu se trouve le bloc sanitaire. Pas de station-service, elle n'est pas trop fréquentée, surtout un jour de semaine, on ne croise pas de famille. En plus de ces 2 parkings, il y a un espace pique-nique situé plus à l'écart, avec ses places de stationnement, séparé de la vue des sanitaires et des 2 autres parkings par des cyprès très hauts et une bonne distance. ça y est, j'approche. Cligno à droite...Est-ce que je suis suivi ? Je n'aime pas trop ça d'habitude. Je ne veux certes pas tomber sur une aire déserte, mais je n'ai pas envie de trop de monde, c'est toujours plus compliqué il me semble dans ces cas-là...: chacun reste dans sa voiture, personne ne bouge, et il ne se passe rien. Tiens…un SUV me suit. Je m'arrête devant le bloc sanitaire, le SUV part directement sur l'aire de pique-nique... Je fais mine de boire à la bouteille et de tripoter mon téléphone. Il ne se passe pas grand-chose, un van est garé à côté de moi: 2 jeunes, on dirait des potes. Je redémarre, et je file rejoindre ma cible, sur le parking n°3 à l'écart. Je roule en seconde, dernier virage à 90° à droite, ça y est, plein de places de libres, 3 véhicules présents. Celui qui me suivait, un van et une clio. Un mec est dehors et se promène, puis se plante près d'une table de pique-nique, abritée par une petite charpente. Il regarde dans ma direction: il doit avoir 50/55 ans, bouc blanc, tenue de ville, plutôt bel homme. Je me gare à côté du van blanc, en épi, tout en laissant une place entre nous. Je regarde dans le rétro pour voir si le quinqua est toujours là : oui, il est juste debout, les mains dans les poches, regarde dans le vide vers nos véhicules stationnés. ça ne dure pas longtemps, il regagne sa caisse, et s'en va (certains vont parfois une boucle par le bloc sanitaire pour revenir ensuite). Je sors, et fume une cigarette tout en marchant un peu sur l'asphalte, en essayant de voir si j'aperçois les conducteurs du van et de la clio. Pas moyen, sans m'approcher davantage, je ne verrai rien. Retour dans l'habitable. J'essaie de mater la vitre conducteur du van, mais avec le stationnement en épi, je n'y parviens pas. Cependant... j'entre-aperçois son bras gauche par moments, qui fait des mouvements dont je devine sans difficulté l’origine. Que faire... ? je sors mon portable et consulte quelques vidéos de cul, déboutonne mon pantalon, et commence à me caresser moi aussi, le sexe sorti de moitié. Avec un peu de chance, il va bien jeter un coup d'oeil à un moment donné. 2 minutes passent...Rien, toujours son bras de temps-en-temps... L'heure tourne: sans être pressé, je n’ai pas non plus envie que ça s’éternise, d’autant que les nuages menacent. Je me reboutonne et décide de prendre le taureau par les cornes. Je ressors, gagne le trottoir contre lequel l'avant de nos véhicules est stationné, et je marche doucement quasi au-devant du van. Je vois le gars, mais la hauteur du siège ne me permet pas de voir en dessous de son buste. Je vois son visage, le volant, et rien d'autre: il doit avoir lui aussi 50/55 ans, une barbe blanche de 3 jours. Il tient son téléphone, et fait défiler des trucs sans me regarder du tout. Je devine qu'il m'a pourtant bien vu, je me tiens debout sur le trottoir, face à lui. Il fait donc mine de ne pas me voir...Je connais ce petit jeu... Du coup, sentant qu'un truc est possible, je m'approche de sa portière et se sa vitre (remontée). Arrivé à hauteur, il ne m'adresse toujours pas un regard. Mais moi je vois bien: il a le froc baissé, et s'astique joyeusement le manche, de taille moyenne visiblement. Je rentre dans son jeu et regarde en direction de son téléphone qu'il tourne ostensiblement vers moi pour partager la vidéo à l'écran: un mec baise une nana en levrette, à bons coups de va-et-vient. Je me déboutonne de nouveau le pantalon et sors ma queue que j'astique avec douceur. Là, mon conducteur tourne enfin la tête et regarde vers mon entre-jambe, en faisant une moue approbatrice. Il ouvre alors la portière comme pour m’inviter à son jeu. Je me place dans l'embrasure, et sors complètement mon costume 3 pièces de son logement pour être plus à l'aise et montrer à mon comparse que tout ça me plaît et m’excite. Nous nous masturbons donc, échangeons quelques caresses. Je remarque son alliance à la main gauche... J'attrape sa queue pour la branler, je caresse ses couilles déjà bien remontées, et l'intérieur de ses cuisses avec son doux duvet. Il fait de même avec moi. Nous poursuivons ainsi plusieurs minutes. Il lâche son téléphone, qui n'était qu'un prétexte, pour se concentrer sur notre jeu. Je me retourne régulièrement pour m'assurer que nous sommes hors de vue d'un éventuel nouvel arrivant. A l'exception de la clio qui était partie pour revenir, mais ne viendra pas nous déranger, il n’y a personne. Nous avons pu aller jusqu'au bout. Il éjacule le premier, en douceur, le sperme coule le long de sa main, il l'essuie vite avec une lingette sortie de sa boite dans le compartiment de sa portière...Monsieur est prévoyant... Quant à moi, je me retourne pour avoir mon sexe qui pointe vers l'extérieur, intensifie le mouvement, et lâche ma dose qui vient maculer le bitume du parking, sous le regard malicieux de ce partenaire éphémère. ça y est, c'est terminé, l'excitation retombe aussitôt, on reprend nos esprits. Je sors un kleenex de ma poche de jean, m'essuie le gland et me reboutonne. On se dit "merci, ciao" sans davantage de discussion. Il claque sa portière alors que je retourne à ma voiture juste à côté. Il part, il est 18h40. Je fais de même, content de ce plan rapide, c'est exactement ce dont j'avais envie: une bonne branle mutuelle à 2, simple, efficace, l'ambiance parking ajoutant un peu de piquant à tout ça.
Popperscam40 : Bandant
Bolsas : Ah ces aires d'autoroute ! Queue des surprises ;-) Encore à Orthez, A64
gayfrench : Merci pour ce récit, qui comme d'autres me rappel bien des souvenirs à l'époque ou les sanitaires des aire de repos étaient plus dans le partage car collectives
Dje84 : Très bien raconté. Tu m'as donné la trique !
Arnonat44 : Beau récit, j aime bien également ce genre de pause
Coco75007 : Bravo pour ce plan sympa, déjà vécu et toujours recherché a chaque arrêt pipi sur autoroute !
Salut. Envie d entendre vos émotions et leur situations. C est souvent plus excitant à imaginer que de voir des photos. Envie aussi de décrire les miens pour peut être rencontrer quelqu un qui vibre aux mêmes situations ;-)
LIPETU : On attend ton écriture....
Mon pote N. est en couple avec mon ancien plan cul. Une jolie nana yeux bleus, châtain, gros seins, amatrice d'anal. Elle m'a un jour maquillé, mis une perruque et m'a fait porter un de ses string et des collants puis elle m'a sucé. Depuis que je les ai vu ensemble je fantasme sur ce plan : Elle me maquille, me travestis avec sa lingerie et ses tenues sexy. Son mec, mon pote, nous rejoint ( il a 29 ans 1m80 110kg métisse). J'aimerai qu'elle le suce avec moi er qu'il nous baise toutes les deux. Je veux qu'il se vide dans mon cul ^^
Bi10scret : ;)
kristoy : hummmmm trop bon!
Ib34 : Chaud !!
sganarelle : Hum sympa comme plan ça