Nos histoires bandantes
Pour ceux qui aiment raconter leurs expériences torrides et sont excités par celles des autres.
Créé par frantic

Un jour, j'étais chez un pote, c'étai le matin, en mode détente, on discute de tout et de rien, je suis un fouineur du coup, je me lève et je vais dans sa chambre, et la je vois un SexToy Doll en siliconé c'étais juste le cul et la chatte hyper réaliste le truc et je vais le voir je lui dis "mec, c'est à toi ce truc la" il me répond que c'tait À lui qu'il venait de l'acheter à peine 1 semaine, bref de la moi je suis là à mater et palper le sextoy et je lui dis que c'est hyper réaliste, c'est comment dedans tout ça ... et la moi j'attendais que ça, bah il me dit teste le va y tu verras, moi les gars je vous jure j'attendais que ça en plus je n'avais pas giclé depuis une bonne semaine, j'avais faim lol et là, il me dit "par contre je te laisse la baiser si tu le fais devant moi" et la une montée d'excitation je commence à bander, et à prendre le sextoy, la sensation interne étant incroyable, pendant que mon pote se branler le chibre, un moment donner lui il lâche son yop et quand viens mon tour il me demande de gicler dedans en mode creampie, j'accepte je me vide entièrement dans le sextoy, je me nettoie et je vais pour nettoyer le sextoy il me dit "non laisse je ferais ça plus tard" je rentre chez moi et il m'envoie un message "mec tu es vraiment chaud, tu as rempli mon sextoy bien comme il faut" ... Je me suis dit ... qu'a-t-il fait avec son sextoy plein de semence ?

09/04/2025 12:37

RebeuScred93 : Bon délire, une DP peut aussi être bine bandant


C’était une nuit brûlante, un samedi soir d’été, dans une boîte branchée d’Annecy, pas loin du lac, où les basses vibraient dans les murs et les corps se frôlaient sous les néons.
Et c’est là que je l’ai vu : un Turc, un putain de canon de 30 ans, un mètre soixante-quinze pour 75 kilos de muscles secs, taillés par le boulot – maçon, m’a-t-il dit plus tard, et ça se sentait dans ses paluches énormes, quatre fois la taille des miennes, calleuses et puissantes. Il portait une chemise blanche entrouverte, laissant deviner un torse velu, des poils noirs comme l’ébène qui débordaient du col, et un jean bleu moulant qui soulignait ses cuisses épaisses.

Ses cheveux, mi-longs, raides, noirs corbeau, brillaient sous les lumières stroboscopiques, épais comme une crinière sauvage, et sa barbe taillée encadrait un visage viril, avec des sourcils broussailleux qui lui donnaient un air animal.

Moi, du haut de mon mètre soixante-dix et mes 52 kilos, mince, passif, presque frêle à côté de lui, je l’ai maté toute la soirée. À un moment, il a filé aux chiottes de la boîte. J’ai pas hésité, je l’ai suivi. Là, dans la lumière crade des néons, il a sorti sa queue pour pisser : 21 centimètres de chair épaisse, 6 de diamètre, un monstre turgescent, veiné, avec un gland luisant qui m’a fait saliver direct. Il m’a capté en train de baver dessus, un sourire en coin a traversé son visage. « Suis-moi », qu’il m’a lâché, la voix grave, rauque, pleine de testostérone. On a traversé la foule, direction le parking. Sa caisse ? Une BMW noire rutilante, sièges en cuir sombre, qui puait le luxe et la sueur masculine.

Il m’a poussé sur la banquette arrière, la portière à peine claquée. J’étais à quatre pattes, le cul offert, et lui, derrière moi, a baissé son jean juste assez pour libérer sa teub. Il m’a agrippé les hanches avec ses mains de brute, ses doigts s’enfonçant dans ma chair blanche et fine, et il m’a pénétré d’un coup sec. J’ai hurlé, un mélange de douleur et de plaisir, son engin me défonçant comme une perceuse. Mes petits doigts se sont accrochés à ses cheveux, ces mèches épaisses, raides, luisantes, que je tirais en arrière pendant qu’il me pilonnait. Je gémissais comme une chienne, mes lunettes glissant sur mon nez trempé de sueur, tandis qu’il grognait, ses poils noirs de torse frottant contre mon dos.

Sa chemise ouverte laissait voir ses pecs bombés, couverts de cette toison sombre qui me rendait dingue. Il a posé une main sur la plage arrière pour prendre appui, l’autre me tenant le cou, et il m’a bourré encore plus fort, son bassin claquant contre mes fesses.

Mais ça ne lui suffisait pas. Il m’a dit : « On va ailleurs, un vrai spot. » On a repris sa BMW, direction Argonay, un parking connu des mecs en chasse, un lieu de drague cent fois plus chaud que la Visitation. Là, au milieu des arbres et des bagnoles garées, il m’a sorti de la caisse, m’a plaqué contre le capot encore tiède, et m’a repris de plus belle. Sous la lune, je voyais ses biceps se tendre, ses avant-bras velus crispés alors qu’il m’enfonçait sa queue jusqu’à la garde. Mes doigts s’emmêlaient dans ses cheveux, je les bouffais presque, humant leur odeur de mâle, pendant qu’il me labourait le cul, ses couilles lourdes tapant contre moi à chaque coup. Il a accéléré, ses grognements devenant bestiaux, et puis il s’est retiré d’un coup. « Ouvre la bouche », qu’il m’a ordonné. J’ai obéi, à genoux sur le gravier, et il m’a arrosé : trois, quatre jets de sperme épais, brûlant, qui m’ont éclaboussé le visage, dégoulinant sur mes lunettes, ma langue, mes joues. J’en avais plein la gueule, et je kiffais ça, ce goût salé, cette domination totale.

C’était un plan cul d’anthologie, hardcore, avec ce bogoss turc qui m’a déglingué comme jamais. On ne s’est jamais revus après ça, dommage. Mais cette nuit-là, entre la boîte d’Annecy et le parking d’Argonay, reste gravée dans ma peau, dans mes lunettes maculées, dans chaque fibre de mon corps éclaté par sa puissance.


08/12/2023 20:32

J’ai suce un pote de mon frère qui était complètement bourré Et ……….

12/02/2024 12:56

desirscoquins : et ? il a compris ce qu'il se passait ?


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