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Paris
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Partage des techniques de branle au gel avec d'autres branleurs curieux
Publié le 02/09/2016
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Partage des techniques de branle au gel avec d'autres branleurs curieux

Je ne suis pas un spécialiste du cul, je suis un spécialiste de la bite. J’aimerais partager mon expérience, qui est d’astiquer soigneusement une queue lubrifiée avec la mouille et juste ce qu’il faut de gel. Pendant que ma main principale branle la queue, l’autre tire sur les couilles vers le bas pour garder la bite bien décalottée si elle n’est pas circoncise, et même la peau bien tendue si elle est circoncise. La main qui branle forme un fourreau autour de la bite, pour la traire comme un piston qui glisse soigneusement en va-et-vient tout le long de la tige, qui remonte juste un peu sur le gland pour ne pas l’irriter. Cette main fait en fait un mouvement de vrille qui permet de bien titiller le frein au passage, pour intensifier le plaisir.

Le but est de maintenir le plaisir en plateau à un niveau très haut, en laissant sortir régulièrement la mouille pour qu’elle se mélange au gel et pour bien maintenir la lubrification. Il faut toujours contrôler l’état de la queue pour qu’il n’y ait pas de risque de partir vers l’orgasme, en écoutant les râles, les gémissements, et en captant bien sa dureté. Si elle commence à surbander et à devenir dure comme un os, il faut relâcher et même laisser un peu ramollir pour qu’elle se repose, parce que la faire repartir et redurcir un peu plus tard est vraiment délicieux, surtout plusieurs fois ...

Il faut utiliser les nombreuses autres positions de main et les gestes qui vont avec, pour faire varier les effets, pour passer d’une sensation à une autre, pour tirer le maximum de plaisir d’une queue. Je ne peux pas toutes les expliquer ici, c’est trop long, j’en ai essayé 7 et il y en a certainement d’autres.

C’est sûr que c’est bon de jouir à fond à la fin, mais les vrais branleurs savent que le but de se branler est de se branler et pas forcément de jouir. Il faut donc maintenir le niveau de plaisir le plus haut possible et le plus longtemps possible : une vraie branle ça dure au moins une heure, et c’est vraiment un minimum. Il faut naviguer dans le plaisir en contrôlant son intensité.

Le mieux est de s’entraîner sur soi pour découvrir exactement les meilleurs gestes, mais comme chacun est différent, c’est génial de découvrir comment la queue d’un autre mec fonctionne, à quoi elle réagit bien, ce qui provoque les effets les plus agréables, et aussi ce qu’il faut éviter de faire pour ne pas irriter.

J’ai remarqué qu’avec cette façon de se traire, de se lustrer, de s’astiquer, sans se presser et sans accélérer, on atteignait toujours, au bout d’un certain temps, une sorte de plaisir différent, plus profond, très intense, qui irradie partout entre la queue et le corps, et qu’on n’obtient presque jamais quand on se contente de faire coulisser le prépuce sur la queue en va-et-vient. On se sent ivre et tout le but est de maintenir le juste niveau de massage et de mouvement pour y rester. Il faut l’avoir fait et l’avoir ressenti pour le comprendre. Alors arriver à le faire sur la bite d’un autre est totalement jouissif, et aussi pour l’esprit : on comprend exactement ce que veut dire « faire du bien » quand on voit l’autre geindre sans arrêt, les yeux révulsés, perdu dans son plaisir.

J’aime faire ça sur mes potes de branle : ils connaissent mon « toucher de la bite » et ils me font confiance pour arriver à monter très haut et pendant un long moment avant de se vider. J’aimerais le faire sur d’autres mecs intéressés par la recherche d’un plaisir optimum. Je pourrai leur montrer aussi les bons gestes pour qu’ils arrivent à bien se masturber avec du gel quand ils seront seuls, car il y a vraiment un coup de main à prendre.

Et justement, j’ai eu l’occasion de l’expliquer et de le faire à quelques gars, en direct : après les avoir astiqués au gel suffisamment longtemps pour qu’ils comprennent le truc, je les ai guidés avec précision dans leur branle, avec leurs propres gestes, pour qu’ils atteignent le plus haut niveau de plaisir, et leurs yeux hallucinés me montraient qu’ils arrivaient à dépasser le niveau de plaisir qu’ils avaient connu avant, et surtout à se maintenir à ce niveau sans chercher à courir vers l’orgasme.

Au téléphone, sur les réseaux, je l’ai aussi expliqué à plein de mecs. Parfois j’en ai même retrouvé quelques-uns, qui me disaient merci en ajoutant que j’avais changé leur vie de branleur. Ils se demandaient tous pourquoi ils n’y avaient pas pensé avant et comment ils pourraient s’en passer désormais.

Voilà ce que j’aimerais partager. Ca pourrait s’appeler de l’éducation sexuelle, mais ce sont des travaux pratiques ! J’aurais aimé qu’on me l’explique tôt dans ma vie, j’aurais évité des branlettes alimentaires rapides dans mes jeunes années. Parce qu’aujourd’hui je suis un cinquantenaire, je crois que j’ai envie de transmettre l’expérience, tout en restant évidemment intéressé par le partage du plaisir …
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