frantic a écrit :Comme je le disais plus haut, j'adore les travaux d'approche.
Je me souviens d'une fois, dans un club de muscu de province où les vestiaires étaient relativement petits, et les douches collectives également. Il s'agissait d'une pièce attenante, assez étroite, pas plus de 2m sur 3m, et pas directement éclairée. Donc il y régnait une relative pénombre. Il y avait juste 4 douches assez rapprochées.
Je me retrouvais toujours seul dans cette "pièce" car je ne pouvais pas fréquente le club aux heures de pointe.
Mais il faut savoir être patient !
Un jour, un mec relativement bien foutu, musclé, me rejoint et commence à se frictionner en m'ignorant.
Je me dis qu'il faut tenter quelque chose pour voir de quoi il retourne. Comme à la pêche, il faut "appâter". Alors je saisis mon shampoing, et me lave les cheveux des deux mains. J'ai les yeux fermés pour que la mousse ne risque pas de les piquer et je me tourne très légèrement vers le gars.
Je sais qu'il peut me mater sans que je le vois et je prends délibérément mon temps.
L'idée qu'il observe mon sexe m'excite et il commence - j'en suis tout à fait conscient - a légèrement à se gonfler. J'appuie alors à taton sur le bouton d'arrivée d'eau et me rince la tête, les yeux toujours clos, bien sûr.
Quand je les rouvre, le mec est face au mur mais je vois bien de profil que sa bite a doublé de volume (sans pour autant être en totale érection). Son gland émerge légèrement de son prépuce.
Nous sommes à moins d'un mètre l'un de l'autre.
Alors je laisse l'eau couler comme si je voulais mieux rincer mes cheveux. Mes deux mains sont sur ma tête et ma verge exposée à la vue de qui veut bien la voir. Mais moi, je peux aussi regarder ce qu'il se passe... Le mec se retourne légèrement vers moi et je sens qu'il hésite à regarder vers mon entrejambe. Il croise mon regard et je ne le lâche pas des yeux avec mon sexe qui monte de plus en plus, atteignant presque la verticale.
Il bande d'avantage et je regarde sa bite se raidir. Je me cambre légèrement, toujours les mains en l'air, exposant mon anatomie tel un singe en rut devant les autres mâles. Il a pigé, moi aussi, et le concours de bite peut commencer.
J'empoigne mon pieu et me branle lentement les yeux alternant avec sa bite et son regard.
Il saisit alors son gourdin et commence également une masturbation délicieuse si j'en crois ses gémissements.
Je m'apprête à le toucher quand d'autres mecs entre dans les vestiaires.
On arrête tout, et je regrette encore aujourd'hui de ne l'avoir pas attendu à la sortie et abordé pour allez se finir chez lui ou chez moi...
AmateurBranle75 a écrit :Je me souviens qu'au Lycée, j'avais sport en début de journée dès le matin, hors de question de rester dans sa crasse/sueur toute la journée après. Pourtant nous n'étions que 2 ou 3 mecs à prendre une douche après le sport. Il n'y avait bien sûr qu'une douche collective, au début de l'année on était (toujours les memes) hyper pudiques, puis au fur et à mesure des seances, de moins en moins, jusqu'à carement se montrer et même se commenter physiquement. Aucun jugement, aucune moquerie entre nous. Parfois des demi-molles qui nous faisait rire mais rien de plus. J'ai toujours regretté et je fantasmais seul de mon côté sur des dérapages possibles ...
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