biteabitedecalot a écrit :fg54 a écrit :biteabitedecalot a écrit :Un copain de mon père m'a fait voir en privé comment on décalotte, avec démonstration et exercices à faire chez soit. Une grosse bite bien bandée d'homme adulte, à l'air, décalottée à fond, devant deux autres copain aussi intéressés que moi. J'ai adoré le cours illustré sur le décalotage, c'était spectaculaire, je voulais faire pareil que lui, et j'y repense souvent quand je me branle.
Ah génial, et vous avez pu avoir ce cours à quel âge ? Ça s'est passé où ? Comment ? Il vous a refait le cours qu'une seule fois? Il bandait? Raconte en détails s'il te plaît ?![]()
Il s'appelait Ludo, une bonne trentaine je pense, mec normal, ni beau, ni moche, enjoué, châtain, yeux bleus, il venait boire du pastis avec mon père en soirée, avec d'autres connaissances, des mecs, des copains à papa, des fois ils jouaient aux boules dehors. Je m'en souvient comme si c'était hier. Fin d'été, Ludo disait avoir quelque-chose d’intéressant à montrer, on l'a suivi, il venait presque tous les soirs, on avait confiance en lui, il nous parlait pas souvent, pour une fois qu'il nous adressait la parole, ça allait forcement être intéressant. On s'est enfermé tous ensemble dans les chiotes. ll avait une bite courte mais bien raide, courbée vers le haut, et qu'il nous a décalotté intégralement, sans résistance, braguette du jeans grande ouverte, tout le matos à l'air, bite et couilles, belle touffe de poils bouclés, je me suis mis à bander, on voyait ma bite qui poussait le slip. Sûr de lui, il nous a tout raconté ce qu'il fallait savoir sur le décalotage, en quelques secondes, j'en ai pas perdu une miette. Il ne nous a pas touché, il a juste fait voir et expliqué. Le plus drôle c'est qu'avec les deux autres copains, on est allé dans ma chambre direct après, pour se montrer qu'on savait décalotter. On avait effectivement une grosse érection mais le bout de nos zizis étaient trop serrés, on arrivait pas à faire pareil, ça tirait au bout et en plus on avait pas de poil et comparé à Ludo des couilles minuscules. On comprenait qu'il allait falloir travailler sur le problème du décalottage, pour devenir des hommes, comme Ludo l'avait si bien démontré. On sentait qu'on était pas loin du but mais il manquait encore quelques années de croissance. Moi ça me faisait bizarre à l'époque de me la toucher, sensation inconnue, on arrivait pas à débander, on pensait que ça n'allait jamais s'arrêter. On était super inquiet, on savait pas se branler et il n'avait pas dit comment on arrêtait de bander. C'était bon et intense. J’adore ce souvenir. Après ça Ludo il était notre copain, on l'adorait, il nous avait dans la poche, on était très impressionné par lui, c'est avec lui qu'on a fumé les premières clopes. Une fois on lui a demandé qu'il nous la fasse revoir. Après ça, c'était devenu sérieux, on parlait que de la quéquette, on arrêtait pas de se la montrer, en train de pisser, en train de décalotter et de se la toucher. À l'école on est devenu des stars quand on expliquait comment bien décalotter à la manière de Ludo, on nous demandait même, avec insistance, de montrer dans les vestiaires à tout le monde, ou même aux chiotes des fois, on passait notre temps à la montrer. On pensait qu'à la bite.
PPik a écrit :Moi, c'est ma mère qui me décalottait. J'avais le prépuce très serré (et d'ailleurs, peu de temps après, on m'a circoncis) et pendant tout une époque, quand j'étais dans le bain, elle me saisissait la bite pour essayer de me décalotter. Comme c'est difficile sur une queue molle, elle me faisait bander un peu. A chaque fois, c'était une épreuve car cela faisait un mal de chien, et une fois le prépuce tiré vers le bas, le gland était tout serré... Elle faisait deux trois aller-retour, qui me faisaient bander assez raide, puis repartait, heureuse d'avoir fait son devoir.
Un été, alors que j'étais seul chez une cousine éloignée, elle lui avait transmit ses instructions sanitaires. Et donc, la cousine opérait la même manœuvre. Sauf qu'elle, une fois les deux ou trois va-et-viens finis, lorsqu'elle me voyait au garde à vous, me prenait en pitié et me branlais doucement jusqu'a ce qu'elle sente ma libération (je n'éjaculais pas à l'époque - je devais avoir 7 ou 8 ans). Ensuite elle me lavait en me caressant absolument partout...
Je voue à cette cousine une reconnaissance éternelle et je regrette de ne plus avoir eu l'occasion de rester seul avec elle...
Teubjusoilpue a écrit :Non mais les gars...vous êtes sérieux là??
Teubjusoilpue a écrit :Non mais les gars...vous êtes sérieux là??
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